
Certains se souviennent du bruit et des odeurs, des emplois fictifs, des intrigues et des trahisons successives, d’autres la posture internationale, la France Afrique, la cause palestinienne, les Arts premiers… On peut l’aimer ou le détester, l’animal politique ne laisse personne indifférent. Pour ma part, je retiens la constitutionnalisation de l’abolition de la peine de mort et le grand discours du 16 juillet 1995 sur la rafle du Vélodrome d’Hiver. Pour le reste, il revient à l’histoire de porter un jugement sur celui que les Guignols ont rendu sympathique. Quoiqu’il fût Président de la République, il n’en reste pas moins un homme qui comme tout un chacun laisse derrière lui des êtres chers, une famille qui est en peine. Je leur présente toutes mes condoléances. L’issue fatale de notre existence met tous les hommes dans une égalité parfaite, tout homme qui vient au monde devra un jour le quitter.
#JacquesChirac

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